En cela, le PTZ vient en complément d’un autre prêt immobilier et ne peut représenter qu’une fraction du coût total de l’opération, soit 20 % ou 40 % selon la zone géographique.
Malgré ces atouts, le PTZ a vu sa popularité diminuer, ne représentant plus que 5 % des transactions en 2022. Une des raisons est le plafond de ressources, qui n’a pas été révisé depuis 2016.